Sans oublier qu’en plus c’est bien la fin du monde
– Contre le patriarcat, Chloé Delaume fait acte de résistance. Nourris de ses propres expériences, ses textes poétiques dissèquent le vieux monde misogyne pour mieux en révéler les violences. De sa langue ciselée et mordante, elle traque les différentes incarnations du mal dans les discours ambiants, les attitudes et les fantasmes contemporains.
– Loin de succomber à la passivité, son projet de déconstruction massive prend progressivement la forme d’un chant de révolte universel, lucide et décapant. Ses poèmes sonnent alors comme une véritable ode à la rébellion contre une époque crépusculaire et à la sororité.
Préface de Lydie Salvayre

