ISBN 979-10-278-0148-0

20,00 EUR

372 pages

mars 2018

Poésie syrienne contemporaine

Cette anthologie bilingue est un panorama des divers courants qui ont agité le mouvement moderniste, non seulement de la poésie syrienne, mais aussi de la poésie arabe dans son ensemble, du début du XXe siècle à nos jours.

La Syrie, en tant que pays, est en train de disparaître. Mais la poésie n’est pas inscrite dans un temps ou un lieu. Elle n’est pas de circonstance. N’est-ce pas dans les œuvres des poètes syriens, qui ont pris la poésie comme un dialogue incessant entre soi et le monde, que se dessine le visage de la Syrie ?

Les auteurs

La presse en parle

« Ce livre du moi éclaté en une galerie de miroirs révèle sa musique secrète de l’intimité rêvée, vécue ou fantasmée, des « plaines du déboire » aux rives de l’exaltation amoureuse, du champ de bataille de l’altérité égratignée aux « terres brûlées » de la solitude… »

Afrique Asie .fr

Entretien avec Saleh Diab : « La poésie syrienne ne doit pas être un outil idéologique »

Europe, n° 1019

« Entre la typographie et la syntaxe participent à la création d’un univers très personnel où tout peut devenir poétique. »

Place de la Sorbonne, n° 5

« Cet ouvrage qui se traduit en lui-même, devient un livre miroir, fruit d’une intense confrontation de langue et de cultures, et s’offre à nous comme un bel alliage de voix poétique. »

Les Hommes sans Epaules n° 37

« C’est la qualité de l’image poétique qui m’a tout de suite séduit dans la poésie de Saleh Diab. il a su assimiler, la couleur unique qu’il a su donner au verbe. »

Poésie première n°37

« L’auteur va toujours à l’essentiel en nous restituant la fugacité de l’instant dans sa plus grande simplicité. Il sait bâtir un monde avec des rien surgis du transitoire. »

Poésie 1, n° 47

« La poésie de Diab est toute entière à son image : un vers libéré des contraintes de la traduction classique, des mots simples et profonds, rythme doux et enivrant. »

Livre et lire

« J’ai visité ma vie pourrait se lire comme un voyage circulaire, celui d’un voyageur qui ne sait où poser ses bagages. »

Recours au poème

 

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