Frénésies
– « On écrit avec ses entrailles pas avec un stylo » Stéphanie Vovor donne corps à la génération Z, celle d’internet, de la téléréalité, celle qui croule sous l’information, la précarité et les rêves avortés.
– Prenant appui sur Jennifer, une jeune standardiste d’une vingtaine d’années, elle donne la parole à ses sœurs : « Les filles dont le trait d’eye-liner est mieux tracé que l’avenir, celles qui sont déjà ratées avant d’avoir mis un pied en grande section de maternelle. »
– À travers ce récit poétique, politique et social, Stéphanie Vovor dépeint la jeunesse des classes moyennes et des périphéries. Celle qui face aux désillusions espère obtenir un CDI, celle qui s’évade en regardant Les Marseillais, celle accro aux nouveaux diktats de la chirurgie esthétique, celle qui espère être entendue.
La presse et les libraires en parlent
« Ce n’est pas une poésie aimable. C’est une poésie qui se veut d’abord collective, c’est au diapason d’un renouvellement littéraire et sociologique de la poésie. »
Romain de Becdelièvre et Anne Dujin – France Culture
« Très clairement la petite étoile montante de la poésie contemporaine. Ca claque, ça gifle et ça te serre le cœur très fort. »
« Une poésie du quotidien, de sa banalité, de sa laideur, mais d’une plume qui sublime la fadeur des choses de la vie, qui élève la vie normale au rang d’esthétique métaphysique. Une poésie à fleur de peau, comme un torrent qui jaillit des entrailles de la vie.»
Préface de Jean D’Amérique