Dictionnaire superflu de la musique classique
Quel pianiste se fit connaître du monde entier en surgissant de la mer dans un smoking dégriffé ? Comment le Clavier bien tempéré de Bach peut-il évoquer des déboires avec le fisc ? Quel compositeur et compatriote avouait n’aimer Leonard Bernstein qu’à 71 % ? Peut-on être à la fois poufiasse et fan de Mozart ? Pourquoi, lors de l’enterrement de Samuel Barber, jeta-t-on des croûtons sur son cercueil ?
Woody Allen est-il responsable de l’incendie de la Fenice ? Quel esprit avisé prédisait de la musique de Beethoven : « Il n’en restera rien » ? Comment donner un opéra de Wagner devant 4 000 personnes quand tous les ténors à l’affiche sont malades ? Quelle virtuose du piano a été encensée par la critique pour une intégrale des sonates de Beethoven qu’elle n’avait jamais enregistrée ?
Comme la Plaisanterie musicale composée par Mozart, ce </>Dictionnaire superflu offre un bric-à-brac de citations détonantes, de couacs savamment orchestrés, de fugues bancales et de variations énigmatiques. Entre deux sourires, le néophyte curieux comme le mélomane chevronné y trouveront des informations originales et documentées sur l’univers impitoyable de la musique classique. Près de 900 entrées en tout, parsemées de conseils discographiques et complétées par un index.