ISBN 979-10-278-0141-1

19,00 EUR

328 pages

janvier 2018

L’arpenteur des ténèbres

Antoni est un jeune auteur embauché par le Cabinet des investigations littéraires. Pendant un an, il doit décrire le monde selon une esthétique. Il choisit celle du chaos et une destination : New York. Le monde vit alors sous la menace d’un vaste réseau terroriste visant à instaurer le chaos. Arrivé à New York, Antoni rencontre une street artist, Anca, qui émaille la ville de tags érotiques afin de stigmatiser le puritanisme américain. C’est le début d’une folle passion qui les pousse à sillonner l’Amérique à la recherche de Tomas Emin, écrivain mythique, qu’ils rêvent d’interviewer. Durant leur périple, ils écrivent des fictions qui s’entremêlent avec leur propre réalité. Il convient alors de voguer d’une fiction à l’autre et de gommer les identités : nous sommes ce que nous lisons, ce que nous écrivons.

À PROPOS DU THÉORÈME D’ALMODOVAR

« Antoni Casas Ros déchire le papier avec force. »

Enrique Vila-Matas, El Pais

« Jeune auteur défiguré et invisible, Antoni Casas Ros signe un premier roman magistral. Impressionnant. C’est un coup de poing dans le plexus, une comète dans l’infini du ciel, un livre choc qui rappelle le Mars de Fritz Zorn. »

Marianne Payot, L’Express

« Le texte étonnant d’un romancier sans visage. D’abord, la sensation troublante d’être pris en otage. Au bout de quelques pages, c’est lui, le livre, qui se saisit de nous, nous enveloppe, en prend effrontément à son aise avec notre liberté. Cent-cinquante pages fougueuses. »

Patrick Kéchichian, Le Monde

« Écrit dans une prose enchanteresse et réparatrice, Le Théorème s’est déjà vendu à dix mille exemplaires. »

Fabrice Pilskin, L’Obs

« Casas Ros ne parle pas de Gaudi, mais il présente des outrances modernistes et cultive un romantisme philosophique qui s’accorde bien aux fascinantes disproportions de l’architecte. C’est un roman sur la beauté dont le narrateur est condamné à la difformité, un exercice d’exhibitionnisme psychologique de la monstruosité, avec des envolées de lyrisme naïf, illuminant une confession sombre et torrentielle . »

Sergi Pàmies, Libération

« Un premier roman transgressif qui va jusqu’au bout de la nuit trouver la joie de vivre. Contagieux. Une vision désespérée et joyeuse du monde. Vivre ! Vivre en long en large et en travers, dans la démesure. »

Astrid de Larminat, Le Figaro

« Souvent admirablement écrit, ce roman est une formidable leçon d’humanité assénée au narcissisme fade de notre époque. Impressionnant. »

Daniel Garcia, Têtu

« Manifeste contre toute forme matérielle, ce théorème pulvérise toutes les croyances les plus superficielles. Un premier roman hors norme, envoûtant. »

Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles

« On a lu Le Théorème d’Almodovár et on est pas revenu intact. Ce magnifique premier roman-récit tient la ligne jusqu’au bout. »

Emilie Colombani, Technikart

« Œuvre tragique et grotesque comme un dessin de Goya. Œuvre envoûtante servie par un style magnifique. Personne ne peut sortir indemne de cette lecture. Personne. »

Joseph-Macé Scaron, Marianne

« Une autofiction qui fait voler en éclat les paramètres occidentaux du réel et du rapport au temps. »

Hubert Artus, Zone littéraire / Rue 89

« Un objet singulier tirant sa séduction baroque de cette intense excentricité. »

Nathalie Crom, Télérama

« Le Théorème de la surprise. Une histoire de drame et de rédemption.
Le Théorème d’Almodovár a bien des caractéristiques du best-seller… inattendu. »

D.G., Livres-Hebdo

« Cette pépite, premier texte fort, dense, incroyablement maîtrisé. »

Cecilia Dutter, La Revue Littéraire

« Dès les premiers mots, on embarque dans un hallucinant grand huit des lettres, une ivresse. »

Bruno Portesi, Parutions

« Lorsqu’il expose, dès la première page, sa vision d’un monde idéal, aux limites de la conscience, instable mais infini, le narrateur a décidément quelque chose d’Artaud. »

Céline Ngi, Fluctuat

« Rares sont les livres qui, une fois terminés, laissent le lecteur dans un état de sidération persistant. Qu’importe la réalité des faits narrés par Casas Ros : dès ce premier ouvrage, il fait une entrée fracassante en littérature. Il trouve la juste distance entre réalisme et baroque dans une langue absolument splendide. »

Baptiste Liger, Lire

menu
Top